Il a brisé l’omerta. Lui, c’est Guylain Tampwo, conseiller juridique de la Société Financière de Développement -SOFIDE.
Face aux fins limiers dans le cadre d’un point de presse il n’y pas allé par quatre chemins pour traiter dire ses quatre vérités sur Pierre ESABE, Inspecteur Général de Service Judiciaire, en charge d’un dossier qui défraie la chronique.
Il s’agit du dossier opposant les parties ‘’ Papa Sola ‘’ et ‘’ Succession Mukuna ‘’ contre la SOFIDE.
D’entame, notons que les deux parties faisant face d’entame que sur décision de justice il y a expulsion des Ets papa sola, de la parcelle SOFIDE SA, n°121 de l’ Avenue Kabambare, dans la Commune de Kinshasa. Puis, par même voie expulsion de la Succession MUKUNA KALENDA Benjamin, de la parcelle SOFIDE SA sise n°1/A de l’ avenue Mandatiniers,C/ Gombe.
Pour insolvabilité face au bailleur SOFIDE.
Prenant une décision contraire sans confronter les parties pour réinstaller les expulsés, Pierre Esabe selon Me Guylain Tampwo a violé le droit à la défense. D’où, a-t-il le sentiment que des forces obscures sont entrées en jeu c’est ainsi que le bon droit n’a pas été dit.
Sinon peut-on logiquement se demander, selon les réflexions de Me Guylain Tampwo, des expulsés pour occupation illégale, escroquerie des loyers perçus cas de Mr MUAMBA TSHIDIPANSHI, Propriétaire des Ets PAPA et le Liquidateur de la Succession MUKUNA KALENDA Benjamin qui ont dossier devant le Parquet peuvent si aisément reprendre ces logements sur décision de justice.
Notons que le conseiller juridique de la SOFIDE estiment que ‘’ Monsieur Pierre ESABE devrait tomber sous le coup de la rébellion à l’ autorité du chef de l’ État, au nom de qui, les décisions judiciaires sont exécutées, sur pied de l’ art 149 alinéas 3 et 4 de la Constitution de la RDC en vigueur, usurpation de la fonction de juge de fond, atteintes aux droits garantis aux particuliers, participation criminelle dans la facilité de l’occupation illégale des expulsés sans titre exécutoire ni droit de propriété… ‘’
In fine, il sonne le glas et interpelle les autorités compétentes afin que la SOFIDE entre dans ses droits et le plus tôt sera le mieux.
La Rédaction