Par Didier Mbongomingi
Tous les coups sont permis désormais contre l’homme anti-corruption du Président Félix Tshisekedi.
Oui, depuis qu’il a été nommé Inspecteur Général des Finances par le Président Félix Tshisekedi, Jules Alingete a fait de la lutte contre la corruption et le détournement des deniers publics sa priorité. Avec son équipe de l’IGF, il a mené plusieurs enquêtes et audits qui ont révélé des scandales financiers impliquant des personnalités politiques et économiques du pays. Il a ainsi contribué à la récupération de plusieurs millions de dollars au profit du Trésor public et à la sanction de plusieurs agents véreux.
Le Président de la République, Chef de l’Etat, n’a pas manqué dans sa dernière sortie médiatique de louer l’activisme de l’IGF en le comparant à un chien méchant qui aboie contre tous les fossoyeurs essayant de détourner l’argent du trésor publique.
Mais cette croisade du » chien méchant de fatshi contre les détournements » n’est pas du goût de tout le monde. Certains de ces prédateurs, qui se sentent menacés par le travail d’Alingete, ont décidé de recourir à la désinformation et à la diffamation pour tenter de le discréditer et de le déstabiliser. Ils ont ainsi créé des usines à fake news, qui produisent et diffusent des documents falsifiés, des rumeurs infondées et des accusations mensongères contre l’Inspecteur Général des Finances.
Le Chef de l’Etat n’est pas dupe de ces manœuvres. Il connait la valeur et la moralité de Jules Alingete, qu’il a choisi pour mener à bien la réforme du secteur financier. Le Ciel est donc toujours bleu malgré cette vaine tentative d’accuser ce » chien méchant de rage ». Ici, par rage, il faudra donc comprendre ne se retrouve pas comme le prétendaient certains bons raconteurs dans les faits de corruption.
Ainsi, les tirs contre Alingete ne sont qu’un coup d’épée dans l’eau.