En peu de temps depuis son entrée en fonction, le nouveau Recteur de l’Institut facultaire des Sciences et de l’Information (IFASIC) et son comité de gestion travaillent consciencieusement pour maintenir la bonne réputation mondiale de cette Alma Mater qui forme des journalistes de renom en Afrique.
Contrairement à ce qui se racontent dans certains médias mal intentionnés à Kinshasa, un tour dans cette institution universitaire a permis aux observateurs de faire un constat positif vu les efforts entrepris sur les plans administratif, ressources humaines, infrastructures (logistiques) et académique par l’actuelle équipe dirigeante.
Il faut être incrédule pour ne pas voir ou accepter le pragmatisme innovant apporté par le Recteur de cet établissement public d’enseignement supérieur du pays.
Des initiatives louables pour la transformation de l’IFASIC!
Toutefois, on salue les actions à impact visible accomplies par le numéro Un de l’IFASIC qui s’est aligné dans la logique de continuité du chantier laissé par ses prédécesseurs, pour améliorer impérativement la qualité de l’enseignement et les conditions du corps académique, administratif et professoral de cette école de journalisme.
En termes d’infrastructures, le comité de gestion construit et réhabilite les auditoires, bureaux, bibliothèque et autres locaux. Il tient à construire un parking pour éviter les désordres de véhicules et l’encombrement.
L’idéal est d’assurer des meilleures conditions de travail des professeurs, assistants et chefs des travaux et du personnel administratif. Tel est le cas avec la salle des professeurs qui vient d’être totalement réfectionnée. Elle est également dotée d’une grande table et des chaises modernes, un poste téléviseur, peinture, split et autres outils pour mettre les « Maîtres » dans des conditions dignes d’un enseignant de l’Université.
Au-delà de toutes ses réalisations, l’actuel Recteur s’est engagé et assigné comme objectif de doter l’IFASIC d’un terrain où il sera érigé la plus grande Université des sciences de l’Information et de la communication en Afrique centrale. D’autres projets sont en cours d’exécution et bientôt ils seront mis à la disposition de l’Etablissement au moment opportun. Car, vaut mieux la fin d’une chose que son commencement, dit-on.
Sur le plan de la formation, le comité de gestion se bat bec et ongles pour donner un enseignement de qualité aux étudiants. Il y a des auditoires renforcés en écritoires (bancs) pour permettre aux futurs journalistes ou professionnels des médias de bien assimiler les cours. Surtout, il ne faut pas oublier que l’Etablissement fonctionne avec l’argent payé par les parents.
L’ordre s’impose !
Personne ne peut accepter de dispenser la matière dans des salles qui se trouvent dans un état délabré.
Raison pour laquelle, il est impérieux d’imposer une rigueur au niveau du corps académique qui est sensé multiplier des efforts dans les recherches et d’être aussi disponible pour répondre favorablement à la tâche.
Car, il est inacceptable de payer un assistant ou professeur qui n’a pas des charges horaires. Chose grave ! On ne peut tolérer une personne qui demeure assistant pendant 15, 20, 25 ans dans une Université.
Il est inadmissible qu’un étudiant qui n’assiste pas au cours puisse réussir à la fin de l’année. Voilà pourquoi, le Recteur a fait de la lutte contre la corruption son cheval de bataille durant son mandat à la tête de cette Alma Mater. Donc, toutes ses initiatives concourent au bien des enseignants en particulier et de l’Université en général.
Vers la matérialisation de la vision du chef de l’Etat pour la jeunesse
Tout porte à croire que l’actuel Recteur n’est que victime de sa rigueur dans la gestion financière et administrative, laquelle provoque la jalousie mal placée d’un groupe de personnes qui ne veut pas de l’ordre et de l’expansion de cette institution académique de la République. Et, pourtant, il travaille conformément à la vision Chef de l’Etat qui a placé l’éducation et la formation de la jeunesse au centre des priorités de son quinquennat.
Qui dit mieux ?
Jordache Diala