Il a crevé le plafond !
Barnabé Muakadi n’a pas cessé d’étonner.
Il est depuis le 16 juin 2020 nommé Directeur Général (DG) de la DGI – Direction Générale des Impôts.
Le 16 juin 2022 voilà deux ans jour pour jour qu’il trône à la tête de cet office collecteur d’impôts.
Sans tambours battants, l’homme et son comité de gestion récoltent le succès à la pelle.
Un constat incontestable est à faire : l’homme réalise une mobilisation des recettes phénoménale d’où a-t-il eu le surnom de » magicien du fisc » car même durant la période
marquée par un ralentissement des mouvements économiques à cause du contexte difficile de la pandémie de la Covid 19 la DGI a continué à battre des records jusqu’à connaître un boom en avril 2022 en dépassant la barre de 200 %. La DGI a carrément triplé ses recettes à hauteur de plus de 3 000 milliards de francs, soit 1,5 milliard de dollars. Cela représente carrément le triple des recettes d’impôts mobilisées à la même période en 2021. Fort de son expérience de 30 ans et du respect des consignes de la hiérarchie de Barnabé MUAKADI MUAMBA, il ne pouvait qu’y avoir l’implémentation de la bonne gouvernance…
La TVA explose
D’après des sources sûres, à peine dans ses 100 jours comme DG il avait fait passer la TVA de 75 milliards de francs à 125 milliards, soit une augmentation de 66 %. Ceux qui ont le flair avaient déjà supposerait la touche. Et la suite des choses le prouve car depuis, il ne réalise que des prouesses.
Satisfait, en février 2022, Barnabé Muakadi, avait déclaré : « En une année, nous avons mobilisé, pour la toute première fois, 130 % de recettes à la DGI ». Il était loin de s’imaginer que le meilleur était à venir.
Pourtant, le gouvernement s’était félicité du fait d’avoir atteint, pour la première fois dans l’histoire des régies financières de la RDC, le pic d’environ 2,4 milliards de dollars de recettes, soit un tiers du budget de l’Etat. « Quand nous sommes arrivés ici, on avait les recettes de 70 milliards de francs congolais par mois. Aujourd’hui, pour la TVA seulement, nous sommes arrivés à 160 milliards. Si le gouvernement nous appuie, on peut doubler ce montant avec un logiciel qui nous permet de bien gérer la TVA », avait-il déclaré à l’époque.
Des recettes…
Barnabé Muakadi et ses pairs, en ont fait leur tasse de thé !
Le crédo du Directeur Général de la DGI : mobiliser inexorablement les recettes, alors plus des recettes et améliorer les conditions sociales du personnel, tel qu’il l’avait déclaré à sa prise de fonctions.
Le Covid qui a secoué les économies du monde n’a pas servi de prétexte à Barnabé Muakadi qui, secondé par ses adjoints Abdon Etina Bekila Ipan et Henri-Maurice Kabwa Kalume ont mis les indicateurs au vert.
En avril 2022, la DGI a fait un dépassement de 200%, en termes des recettes.
Tout récemment, en juin, la DGI a frappé fort !
Elle a fait plus que les assignations : 508,2 milliards CDF, alors que c’est 405, 5 milliards CDF qui étaient attendus ; au bas mot, un dépassement de 125%.
Traînant derrière lui une expérience de près de trois décennies, Barnabé Muakadi Muamba n’entend pas faire les choses à moitié.
Il s’engage à bras-le-corps.
Au lendemain de leur responsabilisation, Barnabé Muakadi et ses adjoints ont mobilisé, 130% de recettes, c’était le premier exploit.
Synergie gagnante
Barnabé MUAKADI MUAMBA reconnait toutefois que c’est grâce à l’accompagnement du ministre des Finances, Nicolas Kazadi, l’encadrement de l’IGF, mais également ses années d expérience au sein de la DGI, que la DGI est parvenue à relever plusieurs défis. Les recettes récoltées au-delà des assignations, c’est le cas de le souligner, sont la résultante de plusieurs stratégies, notamment l’application stricte mesures d’accompagnement édictées par le ministère des Finances sur deux piliers d’orientation : la consolidation de tendance haussière en cours de l’exercice 2022 d’une part, et de l’autre l’insistance sur la numérisation et la législation des opérations de déclarations…. La signature des contrats de performances avec toutes les régies financières, y est aussi pour quelque chose.
Dans la foulée, le Directeur Général des impôts a rétabli la chaîne de fonctionnement de la Taxe sur la valeur ajoutée, qui est actuellement élargie aux entrepreneurs du secteur minier. A côté de cela, il y a notamment la mise en œuvre de la réforme des régimes fiscaux préférentiels, qui s’attaque particulièrement à la question des exonérations illégales qui occasionnent la fraude fiscale.
DES FLEURS DU GOUVERNEMENT AU COMITE MUAKADI !
La DGI, dans les annales des régies financières avait il y a quelques temps, franchi le cap d’environ 2,4 milliards USD des recettes, le tiers du budget de l’Etat.
Avant l’avènement de Barnabé Muakadi, la DGI ne réalisait que 70 milliards CDF le mois, et
avec la TVA, les recettes étaient revues à la hausse, 160 milliards CDF.
Aujourd’hui, avec le Progiciel la DGI entend doubler ces chiffres et attend l’appui du gouvernement.
LA SYNERGIE NICOLAS KAZADI – JULES ALINGETE SALUEE !
La probité morale oblige ! Barnabé Muakadi a reconnu l’accompagnement et l’encadrement respectivement du ministre des Finances Nicolas Kazadi et de l’Inspecteur Général des Finances – chef de service, Jules Alingete, lesquels contribuent significativement à booster les recettes de l’Etat.
A cela, il faut ajouter l’expérience accumulée par Barnabé Muakadi, ce fils maison.
Les recettes réalisées sont l’oeuvre de plusieurs paramètres : l’application à la lettre des mesures d’accompagnement telles qu’ édictées par le ministère des Finances et fondant sur deux piliers d’orientation : – la consolidation de tendance haussière en cours de l’exercice 2022, d’une part, et de l’autre, l’insistance sur la numérisation et la législation des opérations de déclarations.
La signature des contrats de performances avec toutes les régies financières, y est aussi pour quelque chose.
Dans l’ordre logique, le Directeur Général des Impôts a rétabli la chaîne de fonctionnement de la TVA, aujourd’hui élargie aux entrepreneurs miniers.
La réforme des régimes fiscaux n’est pas exclue.µ
Denise DUSAUCHOY