Dans une atmosphère chargée d’anticipation et d’espoir, le jeudi 14 mars 2024 restera gravé dans les annales de la République Démocratique du Congo comme le jour où le destin économique du pays a pris un nouveau tournant. Sous les ors de la salle de cérémonie à Kinshasa, le chef de l’État, Félix Tshisekedi, a scellé l’avenir de millions de Congolais en présidant la signature du cinquième avenant du contrat minier avec le Groupement des entreprises chinoises (GEC).
Cet avenant, loin d’être un simple document administratif, représente une victoire retentissante pour le peuple congolais, orchestrée par un homme dont le nom est désormais synonyme de justice et de progrès : Jules Alingete, le numéro Un de l’Inspection Générale des Finances (IGF).
La renégociation de ce contrat, qualifié de « contrat du siècle », n’est pas le fruit du hasard ni d’une simple volonté politique. Elle est le résultat d’un combat acharné mené par Alingete et son équipe, qui ont mis en lumière les déséquilibres flagrants et la modicité des investissements en infrastructures prévus dans l’accord initial. En février 2023, un rapport de l’IGF a révélé des décaissements importants en faveur des entreprises chinoises, contrastant avec les faibles retombées pour le développement du pays.
Grâce à la persévérance de l’IGF et à la détermination de Jules Alingete, la RDC peut désormais envisager un avenir où ses richesses naturelles seront le moteur d’un développement durable et équitable. Les 7 milliards USD obtenus grâce à cette renégociation vont permettre la construction de 6.000 km de routes, transformant ainsi le paysage économique et social de la nation.
Les travaux, qui débuteront dans un mois, s’étendront de Kinshasa au Grand Équateur, en passant par le Kasai Oriental, le Haut-Lomami et le Lualaba. Des routes stratégiques relieront MBUDI à l’aéroport de Ndjili, traverseront la Gombe et le long du fleuve, et connecteront des régions clés telles que Mbuji Mayi, Kabinda, Kindu, Bukavu et Goma.
Jules Alingete, par son intégrité et son engagement sans faille, a non seulement redressé les finances publiques mais a également redonné espoir à une nation assoiffée de changement. Il est, sans conteste, un héros vivant, dont l’œuvre continuera de bénéficier aux générations futures.
En ces temps de renouveau, la RDC se tient fièrement, prête à emprunter le chemin du progrès, pavé par les efforts inlassables de ses fils et filles dévoués. La signature de ce contrat renégocié n’est que le début d’une ère nouvelle, promesse d’un avenir radieux pour le Congo. Et maintenant imaginons si nous arrivons à reviser d’autres contrats miniers , le Congo peut gagner plus des 20 milliard des dollars. Et cela mets la RDC sur la voie du développement sans l’apport de la FMI ni de la Banque Mondiale, et ce grâce à ses minerais.