Une Université de renom dont la notoriété n’est plus à démontrer de par son Fondateur et la qualité de ses étudiants jetés sur le marché de l’emploi, l’Université Chrétienne Cardinal Malula, ex ISPL vient d’être jetée dans l’opprobre et l’ignominie. Le scandale est signé par son Recteur, Monsieur Léopold Kilemba Sessa qui a mis cet Alma mater dans le viseur de différents médias ce mercredi 11 mai 2022 par la publication d’une décision rectorale numéro 005/022 du 05 mai 2022 faisant état de l’exclusion définitive de l’Université de l’étudiant NDANGA Joël Cadet, inscrit en Troisième graduat Droit Privé et Judiciaire. Ce qui est plus grave, est que cette décision interdit l’étudiant à accéder même dans l’enceinte de ladite Université, lui privant de ce fait, même de son droit de recours.
Un étudiant de cette Université approché par la presse et qui s’est confié sous le sceau de l’anonymat s’est étonné du fait que cette décision affichée aux valves de la Université et sur tous les murs de celle-ci a été rendue pour une affaire dont NDANGA Joël Cadet n’était concerné ni de loin, ni de près.
Alors que c’est la Faculté de droit qui regorge un grand nombre des étudiants, cette décision est affichée par le Recteur sans que l’incriminé n’ait été entendu pour présenter ses moyens de défense. Entorse, constate cet apprenant du droit.
Et pourtant la décision concerne personnellement l’étudiant NDANGA.
Cependant, celui-ci n’a jamais été entendu, ni par le Recteur, ni par un Conseil de discipline quant aux allégations portées contre sa personne. Ce qui prouve l’intention de nuire, constituant ainsi les imputations dommageables conformément à l’article 74 du Code pénal Livre II, révèle cet étudiant.
Bien plus grave, l’étudiant est exclu pour une infraction qui n’existe nulle part, s’afflige ce juriste en herbes. Une honte pour un grand professeur d’une grande Université de renom, s’est indigné cet étudiant.
L’étudiant est exclu pour avoir »proliféré les injures contre les cadres de l’Université ». Qui est auteur de ces injures proliférées et qui en est la victime? S’est interrogé la source avant de répondre que Kilemba ne le dit pas. Dans quels supports ces injures ont été proliférées ? La décision ne le dit pas non plus. Gravissime, la décision n’est même pas motivée, s’étonne la source.
Kilemba ne pèse même pas la qualité de cet étudiant qui, par sa présence au sein de cette Université, a constitué une raison de plus de pousser plusieurs journalistes, greffiers et d’autres cadres de renouer avec le banc de l’école. Plusieurs fois, les médias de cet étudiant, Journaliste, politique et patron de presse, ont fait une large publicité de cette Université où d’ailleurs il fait étudier ses quatre enfants en dehors de ceux qui sont pris en charge en termes des frais académiques et syllabus pour certains de ses condisciples, a fait observer la même source.
La précipitation avec laquelle Kilemba a pris cette décision, son affichage et son partage dans les réseaux de Katumbi, Fayulu et Kabila démontrent qu’il y a une main noire motivée politiquement avec des mobiles d’ordre tribal.
De quoi il s’est agi?
Mercredi 04 mai 2022. Il est 14heures, raconte la source, lorsque l’étudiant NDANGA arrive à l’Université pour passer son examen. Il est soumis au contrôle des frais académiques comme tout le monde. Il s’y soumet.
Cependant, un des contrôleurs, appelé communément Inspecteur ridiculise un étudiant, condisciple de NDANGA pour ne pas avoir payé les frais d’enrôlement à la session. Ému, il sort l’argent de sa poche et donne à son condisciple d’aller payer. Il entre pour passer son examen. A son retour, l’Inspecteur refuse l’accès à cet étudiant au motif »qu’ils sont derrière monsieur Joël Cadet NDANGA pour donner de l’argent ». Ce qui frustre l’étudiant visiblement humilié et touché dans son amour propre par ces propos combien méprisants surtout tenus devant les étudiants de 1er Graduat.
A sa sortie, NDANGA trouve son condisciple en altercation avec le nommé Inspecteur et lui fait rapport des propos méprisants à l’égard d’un étudiant.
Et l’étudiant NDANGA va dire à cet Inspecteur : »Pourquoi tu as toujours tendance à m’humilier et à ridiculiser les enfants? ». Non, ici tu es obligé de respecter les gens comme étudiant, rétorque-t-il avant que NDANGA lui réponde : »Ces enfants étudient au sein de cette Université depuis le premier graduat. Je suis inscrit spécialement l’année passée en 2ème graduat Droit. Est-ce mon argent qui les a pris en charge? Pourquoi dénigrer ce jeune homme parce que faible? », s’est mis en colère NDANGA.
Et là, la même source raconte que NDANGA s’est rappelé de son désert académique à l’Université de Lubumbashi de 1996-2001 où il a été des fois soumis aux mêmes difficultés ayant, étudié dans une précarité et pris en charge totalement par Dieu, le Père des orphelins.
Très vite, un autre jeune homme, appelé Intendant s’interpose et a tenté de se jeter sur NDANGA. Empêché par la garde rapprochée de celui-ci, l’intendant s’est mis à injurier copieusement NDANGA au point qu’il a été maîtrisé par ses collègues pour l’amener au bureau du Recteur. La même source indique qu’heureusement que le rapproché de Joël Cadet NDANGA, également Conseiller du Ministre de l’EPST s’est comporté professionnellement. Si non le pire était à craindre vu la manière dont celui-ci a été agressé.
Jeudi 05 mai 2022, le Recteur signe la décision d’exclusion qui est vite affichée et partagée viralement dans les réseaux sociaux.
Comprenant sa bourde et reproché par les responsables de l’Université, le Recteur a vite invité l’étudiant dans son bureau pour lui annoncer qu’il va revenir sur sa décision. Mais pour avoir un soubassement qu’il rédige un recours, lui a-t-il demandé. Ce que désapprouve l’étudiant qui tenait à ce qu’il soit au préalable notifié de la décision parce que c’est au moyen des réseaux sociaux qu’il a été mis au parfum de cette illégale décision.
Voilà que vite, ceux qui sont derrière cette décision ont envahi les médias ce mercredi 11 mai pour copieusement injurier Joël Cadet NDANGA dans les médias en ligne et réseaux sociaux pour jeter un discrédit sur cet homme qui fait peur à plusieurs.
Ces nains scientifiques dont un certain India Omari, ont oublié qu’il n’existe pas une infraction »proliférération des injures aux cadres ». Triste.
Contacté, l’étudiant NDANGA a refusé de se confier à la presse, estimant qu’il s’agit d’un dossier académique et croit à la grandeur des autorités académiques pour corriger cette erreur et enlever cette infamie sur lui. Il dit connaître ceux qui sont derrière cette cabale qu’il a qualifiée d’une tempête dans un verre d’eau.
CP